Mukôda a le don de raconter des histoires.
Et chez elle, ce sont toujours des histoires de famille, de femmes dévoratrices, de pères tricheurs, de trahisons secrètes et de revanches.
Personne n'en sort blanc comme neige.
Dans La Lucarne, Eguchi se souvient de son père, un homme chétif que sa femme Taka à la vitalité débordante trompait. La fille d'Eguchi est le vivant portrait de Taka mais elle, c'est son mari qui la trompe. C'est ainsi qu'au poker menteur de la vie, les cartes changent de main selon un hasard ironique.
Hasard et non destin, car ces nouvelles de la vie familière mettent en scène des personnages aux tragédies pitoyables, et les révélations qu'elles leur apportent sur eux-mêmes et les autres les découvrent semblables " à la souris apprivoisée qui pousse sa petite roue dans la cage ".
Juste pour mémoriser mes lectures. Aucun jugement... Affichage de la 4ème de couverture.
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