Cette femme « perdue » – pour elle-même ? Pour l’homme qui l’aime, et qu’elle ne cesse de quitter ? – est ce qu’on appelle une femme fatale : singulièrement belle, vénéneuse, fragile, cruelle, insaisissable… Ici, elle se prénomme Violette, comme l’illustre « Traviata » de Verdi. Et ceux qui prennent le risque de l’adorer sont en danger – après avoir été en extase. Faut-il alors plaindre Alexis, la victime qu’elle choisit dans ce roman ? Ou faut-il l’envier ?
Juste pour mémoriser mes lectures. Aucun jugement... Affichage de la 4ème de couverture.
MORAVIA, Alberto - Le conformiste
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