Cette femme « perdue » – pour elle-même ? Pour l’homme qui l’aime, et qu’elle ne cesse de quitter ? – est ce qu’on appelle une femme fatale : singulièrement belle, vénéneuse, fragile, cruelle, insaisissable… Ici, elle se prénomme Violette, comme l’illustre « Traviata » de Verdi. Et ceux qui prennent le risque de l’adorer sont en danger – après avoir été en extase. Faut-il alors plaindre Alexis, la victime qu’elle choisit dans ce roman ? Ou faut-il l’envier ?
Juste pour mémoriser mes lectures. Aucun jugement... Affichage de la 4ème de couverture.
DEL AMO, Jean-Baptiste - Le fils de l'homme
Après plusieurs années d'absence, un homme resurgit dans la vie de sa compagne et de leur jeune fils. Il les entraîne aux Roches, une vi...
-
*** abandon à 75% *** Fin du XXe siècle. Deux enfants, un garçon et une fille, se retrouvent échoués sur une île déserte dans le Paci...
-
Au milieu des années 1970, à New York, deux couples d’artistes ont partagé les rêves de liberté de l’époque, ils ont fait de l’art et de la ...
-
Dans le parc d'Ueno à Tokyo, un homme âgé s'est installé. Comme les autres sans logis il a construit une cabane de bâches et de plan...
