L'Usine, un gigantesque complexe industriel de la taille d'une ville, s'étend à perte de vue. C'est là qu'une femme et deux hommes, sans liens apparents, vont désormais travailler à des postes pour le moins curieux. L'un d'entre eux est chargé d'étudier des mousses pour végétaliser les toits. Un autre corrige des écrits de toutes sortes dont l'usage reste mystérieux. La dernière, elle, est préposée à la déchiqueteuse de documents.
Très vite, la monotonie et l'absence de sens les saisit, mais lorsqu'il faut gagner sa vie, on est prêt à accepter beaucoup de choses... Même si cela implique de voir ce lieu de travail pénétrer chaque strate de son existence ?
Dans une ambiance kafkaïenne où la réalité perd peu à peu de ses contours, et alors que d'étranges animaux commencent à rôder dans les rues, les trois narrateurs se confrontent de plus en plus à l'emprise de l'Usine.
Hiroko Oyamada livre un roman sur l'aliénation au travail où les apparences sont souvent trompeuses.
Juste pour mémoriser mes lectures. Aucun jugement... Affichage de la 4ème de couverture.
MORAVIA, Alberto - Le conformiste
Le jeune Marcello grandit, livré à lui même, dans une famille désunie. Le bouillonnement de l'adolescence l'effraie, il se sent trav...
-
*** abandon à 75% *** Fin du XXe siècle. Deux enfants, un garçon et une fille, se retrouvent échoués sur une île déserte dans le Paci...
-
Geneviève Dormann donne la parole à Laurent Brecey. C'est un jeune homme dont Aragon aurait dit : "Celui qui a le goût de l'...
-
"La bombe a convenablement fonctionné; sur ce plan, il a tout lieu d'être satisfait. Les rescapés tentent déjà de secourir les vict...