Dès qu’ils atteignirent les premières forêts il comprit que ce voyage était une excellente idée, et qu’ils allaient pendant ces quelques jours être très heureux, peut-être pour la dernière fois ; c’était certainement, en tout cas, leur dernier voyage. Prudence conduisait bien, elle était au volant calme et sûre. Ils parlaient peu, mais ce n’était pas nécessaire ; le paysage, très beau dès leur entrée en Bourgogne, devint splendide tout de suite après Mâcon, dès qu’ils arrivèrent dans le Beaujolais proprement dit. Les vignes étaient illuminées d’écarlate et d’or, davantage lui semblait-il qu’elles ne l’avaient jamais été, mais c’était peut-être simplement parce qu’il allait mourir, qu’il ne reverrait plus jamais ce paysage qu’il aimait depuis l’enfance.
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ROTH, Philip - Portnoy et son complexe
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