Gérard de Nerval promène dans Paris un homard au bout d’une laisse avant d’être soigné dans un asile psychiatrique, les admirateurs de Goethe se suicident après la publication de Werther, Proust ne veut plus parler qu’à des ducs, Georges Orwell vit parmi les sans-abris et Borgès perd la vue. Tous ces drames n’ont qu’une seule et même cause : la lecture, ce "vice impuni" selon Larbaud. Et si lire était dangereux pour la santé et pour la société, au même titre que l’alcool et le tabac ? Et si lire rendait laid, fainéant, pédant ou snob ? Et si lire pouvait ruiner votre carrière professionnelle, ou même vous rendre la vie insupportable ? C’est le point de départ de ce joyeux pamphlet qui passe en revue tous les défauts du livre pour, en fin de compte, en faire l’éloge le plus abouti.
Juste pour mémoriser mes lectures. Aucun jugement... Affichage de la 4ème de couverture.
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